Lors du Salon de la Photo 2024 venez découvrir une exposition dédiée aux photos sport.
Salon de la Photo 2024 - Logo Gruissan Sport Photo

Gruissan, Festival International de la photographie de sport

Le Festival International de la Photographie de Sport est un événement annuel prestigieux qui célèbre l'excellence et la diversité de la photographie sportive.

Situé dans la ville côtière de Gruissan, ce festival attire des photographes du monde entier, mettant en lumière des clichés époustouflants capturant l'intensité, la passion et la beauté du sport. Gruissan devient la vitrine planétaire de l’image de sport.

Les participants peuvent assister à des expositions, des conférences et des ateliers animés par des professionnels renommés, offrant une opportunité unique de découvrir les coulisses de la photographie sportive.

Nourries par le concours international de la photo de sport, les expositions présentent au grand public un véritable best of mondial de la photographie de sport. Des images étonnantes qui proviennent d’événements sportifs de toutes natures, prestigieux ou méconnus, mais porteurs d’émotions fortes…

Ce festival est devenu un rendez-vous incontournable pour les amateurs de sport et de photographie, contribuant à promouvoir et à enrichir la culture visuelle sportive à l'échelle internationale.

Photos Sport sur le Salon de la Photo

Salon de la Photo - Logo AFP

Pour cette édition, Gruissan Sport Photo dévoile une exposition.

 

Paris, capitale des sports

 

À quelques semaines des Jeux olympiques et paralympiques, des athlètes français ont pris la pose pour l’AFP dans des sites célèbres de la capitale. 

"L’idée, c’était de les sortir du stade et de faire une visite touristique dans les lieux emblématiques de Paris", explique Joël Saget, un des trois photographes de l’Agence France-Presse qui ont réalisé ce projet au côté de Stefano Rellandini et de Franck Fife. 

Plonger dans le bassin d'Apollon à Versailles, frapper des coups droits dans la salle Ovale de la BNF Richelieu ou bondir au milieu des vitraux de la Sainte-Chapelle ?

Très fréquentés par les touristes, ces monuments devaient être vides pour les séances de prise de vue. "Il a fallu s’adapter à la disponibilité des athlètes, qui très souvent s’entraînent en dehors de Paris, et à celle des musées ou des monuments. Il fallait venir tôt le matin, tard le soir ou le jour de fermeture", ajoute Stefano Rellandini. 

"Ce sont des lieux d’exception et là, on les avait pour nous quelques instants. Il ne fallait pas se rater et faire la bonne photo. Ça rajoute une couche de stress", poursuit le photographe. 

Ces trois photographes expérimentés ont participé à toutes les séances photos, s'occupant de l’éclairage, de la mise en place ou de la prise de vue. Le but ? "Obtenir le meilleur résultat en un laps de temps très court.

 

Tupac Pointu

Adjoint au Rédacteur en chef Photo France 

Salon de la Photo - AFP aux JO 2024 Le Français Arnaud Assoumani, champion paralympique de saut en longueur en 2008, pose devant la pyramide du Louvre, conçu par Ieoh Ming Pei. Franck FIFE / AFP

Les photos sport seront également mises à l’honneur lors d’une Grande Rencontre qui aura lieu le vendredi 11 octobre à 11 heures sur le Salon de la Photo, sur la thématique « Dans les coulisses des Jeux », présenté par Martin Bureau, rédacteur en chef photo France – AFP.

L’agence s’était préparée depuis un an, scrutant le moindre détail pour déterminer la meilleure position, mais la pluie a bouleversé les plans de la cérémonie d'ouverture.

Près de 50 photographes étaient postés dans les airs, sur les toits des monuments, sur le pont des bateaux ou sur les rives de la Seine pour diffuser quelque 3.500 photos, le 26 juillet.

Pour la couverture de ces Jeux, pas moins de 70 reporters photographes étaient mobilisés sur les sites olympiques, à Paris, en Province et en Polynésie, pour nous émerveiller dans des décors de carte postale. Six mille images en moyenne furent transmises chaque jour en temps réel à une vingtaine d’éditeurs qui ont la charge de corriger, recadrer et légender celles-ci.

Les équipes disposaient également de boîtiers subaquatiques au fond de la piscine et d’une vingtaine de robots sous les toits des sites pour réaliser des images zénithales ; sans compter les nombreux appareils commandés à distance aux bords de la piste qui permettaient d’offrir des angles différents. Tout est allé très vite ; pour le 100 m qui représente la valeur étalon, il ne s’est écoulé que 40 secondes entre la première image et sa réception dans les médias.

Ne manquez pas la prochaine édition du Salon de la Photo !

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Affiche officielle du Salon de la Photo 2024